Dans sa quête effrénée de discréditer ma société et ma personne, je constate que la BRALIMA excelle dans l’art d’altérer les faits et de manipuler l’opinion.
Cet acte désespéré de la BRALIMA traduit clairement une fuite en avant.
Je tiens par ceci à rétablir la vérité tordue par la BRALIMA et fixer l’opinion sur la situation réelle dans cette affaire avec des preuves irréfutables.
En Août 2018, ma société SOTRANS SARL a signé un contrat de collaboration avec la BRALIMA S.A. pour la reprise des activités dans les villes de BOMA, MOANDA et TSHELA dans la province du Kongo-Central, suite à la fermeture de son usine de BOMA.
Consciente de la précarité de ses activités dans ladite zone et soucieuse de tirer un dernier profit de son vestige, la BRALIMA va proposer de céder un ensemble d’engins, boissons et emballages en crédit à la société SOTRANS en addition aux investissements conséquents de cette dernière qui avait mobilisé plus d’1.000.000 USD pour ce projet.
Détenant un contrat à durée indéterminée et une exclusivité dans ladite zone, SOTRANS remettra également à la BRALIMA un titre de propriété en guise de garantie desdits crédits.
Alors que le grossier mensonge de la BRALIMA fait état de plus de 600.000 USD de crédit, voici un extrait du Protocole d’Accord qui fait état de la somme de CDF 574.883.052 estimée autour de 350.000 USD. (Voir copie ci-jointe).
La BRALIMA retenait à la source 100% des commissions mensuelles dues à la société SOTRANS en remboursement desdits crédits, et ainsi prévu jusqu’à l’apurement total.
L’amnésie qui semble tourmenter la BRALIMA ne lui fait pas dire les modalités convenues, les sommes déjà perçues en remboursement de ces crédits pendant l’exercice du contrat, le retour de tous ses emballages et le solde actuel s’il y en a.
Tout en devant mentionner que pendant tout l’exercice de ce contrat, la BRALIMA n’a jamais payé à SOTRANS les frais de transport de ses produits vers les villes de MOANDA et TSHELA à l’exception de BOMA.
Je me dois autant de mentionner la vaste escroquerie de la BRALIMA dans cette aventure. Après m’avoir fait signer des actes de vente et d’engagement concernant lesdits crédits sur base des faux fichiers, je vais me rendre compte le jour-même du lancement des activités, que la moitié de la flotte des véhicules vendus étaient hors service dont certains n’ont jamais roulé jusqu’à ce jour. Autant pour une certaine quantité de boissons dont la date de péremption était imminente les rendant donc impropres à la consommation.
Par conséquent, la BRALIMA ne m’a jamais fait signer un seul des procès-verbaux de nos réunions de travail, ceci en violation manifeste de ses propres procédures, par crainte d’exposer ces irrégularités tant décriées.
Les mises en demeures dont elle parle, arbitraires et irrégulières, faisant suite à des faux rapports que j’ai exposés à plusieurs reprises avec des preuves irréfutables lors de nos réunions de travail ainsi que par emails, annotations et courriers dont les copies seront bel et bien publiées car la vérité doit être dite.
La BRALIMA prétexte la non-atteinte des objectifs mensuels cherchant ainsi à se justifier alors qu’elle ne fera qu’exposer ses pratiques commerciales trompeuses, et se discréditer.
Toutefois le contrat prévoit une rupture de celui-ci en cas de non-atteinte des objectifs d’achat mensuel pendant 4 trimestres de suite, cela soumis à l’application d’un préavis de 6 mois.
En date du 14 Mai 2019 la BRALIMA a cependant unilatéralement rompu le contrat après 3 trimestres d’exercice malgré plusieurs objectifs atteints, et sans préavis, m’imposant un arrêt immédiat des activités avec bien plus de 60 employés dispersés, des engagements considérables en suspend et des investissements gigantesques perdus.
Conscient de cette violation flagrante, son directeur général, monsieur Victor MADIELA tentera de se rattraper dans son courrier du 05 Juillet 2019 pour parler d’une suspension de contrat et non d’une rupture. Une incohérence phénoménale ! (Voir copie ci-jointe).
Alors que la BRALIMA se sert de la distraction, la manipulation et des manœuvres dilatoires, les faits établis sont tels qu’à ce jour, le DG de la BRALIMA, monsieur Victor MADIELA ainsi que la BRALIMA sont poursuivis en justice pour ABUS DE CONFIANCE.
Les faits remontent au 30 Avril 2019, la société SOTRANS en plein exercice du contrat avec la BRALIMA, empruntera à sa banque la somme de 200.000 USD à payer directement sur le compte de la BRALIMA exclusivement pour l’achat des boissons suivant l’intitulé de l’O.P.
La BRALIMA m’enverra ainsi un email avec l’extrait de confirmation « ACHAT BOISSONS » en date du 2 Mai 2019. (Voir copie ci-jointe).
A ma très grande surprise, la BRALIMA n’a jamais procéder à la livraison de la dite commande malgré plusieurs rappels et suivis, et ce jusqu’à ce jour.
En date du 14 Mai 2019, deux semaines plus tard, la BRALIMA me notifiera une lettre de rupture de contrat, sans préavis tel que prévu par ledit contrat et sans aucune mention de la somme de 200.000 USD.
En date du 05 Juin 2019, son DG, monsieur Victor MADIELA me fera parvenir un courrier après plusieurs de mes rappels, en prétextant une prétendue compensation.
Soucieuse de justifier la retenue irrégulière de cette somme, la BRALIMA s’est livrée à l’usage de faux en écriture me notifiant le 14 Mai 2019 une lettre de rupture de contrat antidatée au 10 Avril 2019 pour tenter de prétexter que le paiement de ladite somme était établi postérieurement à la rupture du contrat. Oubliant que ladite lettre avait comme référence le mois de Mai 2019 et qu’un email de notification de ladite rupture de contrat m’avait été envoyé en date du 09 Mai 2019. (Voir copie ci-jointe + annotations).
Existe-t-il un code d’éthique au sein de la BRALIMA ???
Ses pratiques sont-elles en harmonie avec le code d’éthique de sa société mère Heineken ???
Je tiens donc à fustiger ce genre de pratiques frauduleuses et à solliciter l’application impartiale de la loi dans toute sa rigueur sur les auteurs de tels forfaits.
La BRALIMA veut faire croire qu’elle est tellement généreuse pour octroyer des crédits si importants, n’importe comment, et à une société qu’elle ne sait même pas retracer ! Alors que mes emails et documents confondus ainsi que ses propres courriers à mon égard portent l’adresse physique de ma société où nous avions même tenu plusieurs réunions.
Elle veut faire croire qu’une société n’étant plus liée en contrat avec elle, peut tout de même se donner la peine de lui payer 200.000 USD pour une commande imaginaire !
Comme si ca ne suffisait pas, la BRALIMA se perd dans de grossiers mensonges par la publication d’un article erroné et éhonté aux medias, et soucieuse de se soustraire à la justice elle cherche à discréditer mon action en justice et se permet même d’altérer les faits du procès. Comme si l’accès aux medias et à la justice était son droit exclusif.
La BRALIMA tente-t-elle d’exercer un contrôle sur les medias et la justice ?
Voila clairement des pratiques peu crédibles que la BRALIMA affectionne, du gangstérisme.
What next ???
« SOTRANS SARL »