Félix Tshisekedi, candidat à sa propre succession à la Présidence de la République a une nouvelle fois salué le travail abattu par l'Inspection Générale des Finances ( IGF) durant son premier quinquennat à la tête de la République Démocratique du Congo.
Lors de son passage à l’émission "Programme de campagne électorale" organisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), diffusée mardi 12 décembre 2023 sur la chaîne nationale RTNC, le candidat n•20 s’est félicité notamment du fait que c'est sous son règne que le gouvernement a plus mobilisé les recettes publiques grâce à la lutte contre les détournements des deniers publics menée par l'IGF, service rattaché à la Présidence de la République.
"Nous sommes le régime qui a mobilisé le plus des ressources ça veut dire qu'on a réduit les détournements des deniers publics parceque si on arrive à un budget de 16 milliards, ça veut dire qu'on a travaillé cas même à juguler cela. L'Inspection Générale des Finances à qui je donnais un pouvoir régalien a fait un travail énorme, un travail très appréciable. L'Inspection Générale des Finances existait certes mais elle était une coquille vide, aujourd'hui grâce à son inspecteur général Jules Alingete Key, on a avancé, on a réussi à juguler beaucoup de megestions", s'est réjoui Félix Tshisekedi, candidat à sa propre succession
Depuis l'accession de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême et la nomination de Jules Alingete Key à la tête de ce service public rattaché à la présidence de la République, l’Inspection générale des Finances fait de la lutte contre les détournements et les malversations financières son cheval de bataille pour combattre les antivaleurs ancrés dans les institutions publiques, l'œuvre qui est saluée par la population congolaise.
L’IGF joue un grand rôle dans la mobilisation des recettes publiques avec sa patrouille financière. Cette patrouille financière générale dans les finances publiques, d'après Jules Alingete, reste la clé principale de l’éradication des antivaleurs dans la gestion publique.
Clément MUAMBA