Pour AETA-ODEP-RECIC, la corruption électorale tue la démocratie et génère la pauvreté

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Les organisations de la société civile travaillant respectivement dans la gouvernance économique et électorale, notamment Agir pour les Elections Transparentes et Apaisées (AETA), l’Observatoire de la Dépense Publique (ODEP) et le Réseau d’Education Civique au Congo (RECIC) invitent le chef de l’Etat à se prononcer, en prenant des mesures drastiques assorties des sanctions, sur les faits de corruption qui gangrènent et laminent le processus des élections des sénateurs, gouverneurs et vice-gouverneurs, des membres du bureau des Assemblées provinciales et de l’Assemblée nationale et du Sénat par la CENI.

Cette déclaration a été faite, ce mercredi 27 février, à la suite d’une séance d’évaluation de la deuxième phase du processus électoral, organisée du 21 au 22 février 2019.

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