Enrichissement illicite : Barbara Nzimbi dit avoir coordonné une enquête qui lave Kabila et ses proches

Joseph Kabila et sa famille possèderaient plus de 80 entreprises, soit partiellement soit entièrement, dans le pays et à l’étranger, avait rapporté le Groupe d’Étude sur le Congo (GEC),  un projet de recherche basé au Centre de coopération internationale de l’Université de New York (Etats-Unis). Selon le GEC, ces entreprises sont dans presque tous les secteurs de l’économie congolaise : l’agriculture, les mines, le secteur banquier, l’immobilier, les télécommunications et les compagnies aériennes. Des agences comme Bloomberg ou encore Reuters ont également publié des enquêtes qui pointent du doigt Kabila et son entourage. A Kinshasa, Barbara Nzimbi, présentatrice d’émissions politiques, affirme avoir coordonné une « contre-enquête » qui démontrerait que la fortune de Kabila et de son entourage a été « <em>gonflée superficiellement pour l'opposer à l'opinion nationale et internationale</em> ».

<em>Communiqué.</em>

Contre-enquête d'un groupe de journalistes sur les richesses attribuées mensongèrement à la famille présidentielle.
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<li>Tout le monde a encore en tête les conclusions mensongères d'une prétendue enquête d'une agence de presse internationale sur le supposé enrichissement de la famille présidentielle à qui appartiendrait une centaine d'entreprises touchant tous les secteurs de la vie économique.</li>
<li>Après une contre-enquête diligentée par quelques journalistes sous la coordination de Barbara Nzimbi, sur ces allégations d'enrichissement sans cause de la famille présidentielle, il s'avère que sur la centaine d'entreprises prétendument attribuées au président de la République et à son entourage, deux seulement leur appartiennent.</li>
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Il s'agit de l'hôtel... Et de la boîte de nuit...
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<li>De ce fait, les allégations sur l'enrichissement de la famille présidentielle sont mensongères.</li>
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Elles ont été publiées dans l'unique but de nuire à la réputation du président de la République et à sa famille afin de le fragiliser politiquement.
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<li>Ces fausses allégations sont le fait de certains membres de la communauté internationale qui abhorre la souveraineté de la RDC sur ses richesses naturelles. Eux qui souhaitent faire main basse sur les ressources naturelles de la RDC.</li>
<li>La méthode utilisée, pour jeter en pâture la dignité d'un homme, le président Kabila, n'est pas sans rappeler celle que les mêmes impérialistes n'avaient pas hésiter à mettre en branle contre feu le président Mobutu.</li>
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Par médias interposés, le président Mobutu avait été présenté comme étant à la tête d'une fortune colossale évaluée en dizaines de  milliards de dollars américains.

A sa mort, la vérité éclata.

Sa fortune avait été gonflée superficiellement pour l'opposer à l'opinion nationale et internationale.

Mobutu n'était que la victime d'une machination de ses anciens alliés.

Les comploteurs contre la souveraineté de la RDC ont recouru à la même recette pour déstabiliser le président Kabila dont le nationalisme et le patriotisme ne sont plus à démontrer.
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<li>En conclusion, les médias internationaux et nationaux ont diffusé des informations truffées des contrevérités dans l'unique but de nuire à la réputation du président de la République et sa famille.</li>
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La presse doit bannir  dans ses pratiques les campagnes d'intoxication financées dans un but inavoué.

Barbara Nzimbi, coordinatrice de la contre-enquête