Depuis environs deux ans, de plus en plus des cas de violences sexuelles sur mineurs sont dénoncés à Kinshasa. Cependant, rares sont ceux qui sont portés devant la justice. Et dans la frange des cas traduits en justice, l’autre plus grand défi est d’obtenir un jugement en faveur de la victime.
Pourquoi ces cas augmentent à Kinshasa malgré les sanctions qui existent ? Pourquoi les victimes n’obtiennent pas gain de cause de la part de la justice ?
Pour répondre à ces questions, le Desk Femme de Actualite.cd, en partenariat avec l’ONG Journalistes pour les droits humains (JDH-RDC) a reçu:
Chris Shematsi, Avocat et Consultant du Global Survivors Fund (GSF en sigle) pour le projet pilote de réparations intérimaires en faveur des survivant.e.s de violences sexuelles en RDC.
Pascaline Zamuda, défenseure des droits humains et Coordonnatrice du Cadre de Récupération et d’Encadrement pour l’Épanouissement Intégral des Jeunes « CREEIJ ».
Et Madame Ekanga, mère de la jeune fille surnommée « Annie » en 2019, victime d’un viol collectif de la part de ses amis, tous élèves de l’école Révérend Kim.
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