Martin Fayulu, qui révendique la victoire à la présidentielle du 30 décembre, affirme avoir déposé une requête au niveau de la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples.
« Le problème aujourd’hui, c’est comment faire accepter aux Congolais, et même au monde entier, que quelqu’un qui a eu moins de 17% soit président de la République, alors que celui qui a plus de 62% ne peut pas exercer le pouvoir. Si la communauté internationale veut tuer la démocratie au Congo, qu’on nous le dise, car quel est ce Congolais qui, demain, pourra encore faire confiance aux élections ? », s’est-il interrogé.