Jean-Marc Kabund, secrétaire général de l’UDPS, a accusé la communauté internationale d'avoir donné <em>« une prime à Kabila après les élections de 2011 ». </em>Il réaffirme également la détermination de l’UDPS à « chasser » Kabila du pouvoir le 19 décembre 2016. Il l’a dit dans son mot de circonstance à l’occasion des obsèques des militants de l’UDPS tués les 19 et 20 septembre au siège du parti d’Étienne Tshisekedi.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100"><em>« Je vous demande de me regarder bien parce que je ne vous en dirai pas plus. Désormais plus rien ne sera comme avant, »</em> a dit Kabund avant d’ajouter que <em>le sang de ceux sont tombés au nom de la paix va bientôt libérer le Congo (…). En vertu de l'article 64 de la constitution nous serons obligés de chasser Kabila (…). Mieux vaut mourir debout que marcher à genoux. »</em></blockquote>
Aucun incident majeur n’a été signalé jusque-là. Sur fond de la chanson «Combattants jusqu’à la mort », une centaine de militants ont envahi l’intérieur et plusieurs centaines aux abords du siège de l’UDPS.
Après Etienne Tshisekedi, plusieurs membres du Rassemblement comme Martin Fayulu, Franck Diongo, Jean-Claude Vuemba ou encore Adam Bombole ont déposé chacun sa gerbe de fleur.
Franck Ngonga, depuis le siège de l’UDPS à Limete