Le bilan provisoire de l'effondrement du jeudi 22 mai de la maison en construction au quartier Bankoko en ville de Bunia dans l’après-midi s'élève à 3 morts et 8 blessés selon les information livré le vendredi soir par le commandant ville.
D'après Abeli Mwangu Gérard, les fouilles continue pour retrouver d'autres victimes.
« Le bilan provisoire se présente comme suit. Ce vendredi 23 mai 2025 à 18h. Trois personnes tuées sur place, trois morts, dont une femme, un jeune homme et un élève écolier qui était venu au stage. Nous avons également enregistré huit personnes grèvement blessées, dont cinq évacuées à l'hôpital de l'Unir des FARDC, et trois à l'hôpital de la PNC pour être acheminées directement à l'hôpital Salama pour les soins appropriés. Et nous venons d'enregistrer la plainte d'une famille, c'est-à-dire nous enregistrons un disparu », a-t-il dit avant de conclure que le travail de fouille continue.
Il sied de noter que selon un ingénieur qui requis l'anonymat, la faute serait du propriétaire qui n'as pas respecté le plan de son ingénieur en utilisant un mauvais dosage ainsi qu'il n'as pas utiliser les matériaux proposés et il aurait utiliser l'architecte que l'ingénieur. À lui de dire qu'il aurait plus de cinquante travailleurs y compris les élèves en stage et que seul 8 sont sortis des décombres dont 4 morts et 4 blessés qui poursuivent des soins dans une structure de la place.
Selon l'ingénieur Kisembo, chef de la division des Infrastructures et Travaux Publique, la justice doit lancer une enquête très sérieuse pour retrouver l'ingénieur ou l'architecte responsable de ce chantier.
« Nous sommes en train de faire un rapport qu'on doit adresser à l'autorité de la province. C'est là où il y aura une recommandation. Néanmoins, nous voulons interpellons la conscience de nos commerçants, si pas les commerçants, donc la population en général. Le problème que nous sommes en train de vivre aujourd'hui, nos commerçants ou la veulent diriger les ingénieurs. S'il À déjà atteint son argent ils n'ont pas la peine suivre les normes de la construction. Mais aussi, quelque part, où nous les condamnons vous rencontrez quelqu'un dans un chantier vous demander le patron, on vous dis qu'il n'est pas là. C'est quand il y a des difficultés, c'est là qu'ils vont passer au bureau. C'est ce que nous faisons, nous sommes en train de faire des rapports avec l'autorité et je pense ils vont donner réponse à nos recommandations », a-t-il dit.
Jusqu'à présent ni le service de Guichet Unique de Délivrance de Permis de Construire (GUPEC) et le service de l'Urbanisme n'as parlé sur ce drame pour savoir où serait la cause de ce drame pour établir les responsabilités.
Il sied de signaler que jusqu'à présent le nombre exact des ouvriers ainsi que les élèves en pratique reste inconnu et sont toujours sous les décombres.
Freddy Upar, à Bunia