Le volet culturel occupe également une place importante dans les préparatifs des Jeux de la Francophonie prévus à Kinshasa. La République Démocratique du Congo, pays organisateur, a décidé de souscrire à 11 disciplines dans le volet culturel.
"Nous avons souscrit à 11 disciplines prévues dans l'organisation des jeux de la Francophonie et donc pour la question de la culture 11 disciplines sont déjà concernées, nous avons souscrit pour ces 11 disciplines. Il s'agit de la chanson, la danse de création qui est la danse des scènes qui se passent dans les salles, nous avons des contes, il y a la peinture, la sculpture installation qui est cette sculpture qui se fait avec les gens dans l'espace d'architecture, il y a la photographie, la danse hip hop qui est différente de la danse des scènes, ça se passe sur la route, il y a la jonglerie avec ballon, il y a les marionnettes géants, il y a la création numérique et enfin la littérature nouvelle", a détaillé Catherine Kathungu, ministre de la Culture, des Arts et du Patrimoine.
Selon elle, la RDC démontrer au monde qu’elle regorge des talents dans plusieurs disciplines.
"Les 11 disciplines sont en marche chez nous, nous sommes reconnus dans le monde étant un pays caractérisé par la danse, la musique mais nous avons souscrit à 11 disciplines parce que nous voulons montrer au monde notre capacité et nos différents talents surtout montrer que nous avons ce que nous devons vendre en dehors de la danse et de la musique", a-t-elle ajouté.
Et de poursuivre : "C'est depuis 2019 que les présélections ont commencé et les gens qui ont été présélectionnés et sélectionnés sont en train de se préparer correctement. Pour la question de la culture, je pense que nous sommes à temps et nous n'avons pas à avoir peur, nous devons garder nos apaisements".
Les Jeux de la Francophonie ont été attribués à la RDC le 2 juillet 2019 lors de la 108ème session du conseil permanent de la Francophonie. Prévus en 2021, ils ont été reportés d’abord du 21 au 28 août 2022 suite à la pandémie de Covid-19 avant cette seconde chance.
Clément MUAMBA