Malgré les tensions diplomatiques, la Belgique réitère son appui aux FARDC

Le Royaume de Belgique a promis ce 31 janvier 2017 la poursuite de sa mission de formation de la 31ème brigade de réaction rapide des FARDC ainsi que son appui à la formation des cadres et officiers de l’armée congolaise.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90">« Durant l’année 2017, la mission de formation, suivi et évaluation à Kindu et Lokandu sera poursuivie avec en moyenne une vingtaine de militaires belges durant les six premiers mois et ensuite,  avec une dizaine de militaires jusqu'à la fin de l’année », lit-on dans un communiqué de l’ambassade de Belgique à Kinshasa.</blockquote>
«
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90">Ils seront chargés d’assurer l’encadrement de la 31eme brigade de réaction rapide congolaise, formée par la Belgique. Trois équipes d’une dizaine d’instructeurs seront par ailleurs chaque fois déployées durant un mois auprès des bataillons de réaction rapide à Goma et Beni », poursuit le même communiqué.</blockquote>
Des relations diplomatiques  entre le Royaume de Belgique et la RDC sont restées tendues depuis le dernier trimestre de l’an 2016 marqué par une crise politique née de l’impossibilité d’organiser les élections dans les délais [novembre 2016].

La Belgique avait ainsi restreint  la durée de validité des visas accordés aux congolais tenanciers des passeports diplomatiques. Kinshasa avait réciproquement appliqué les mêmes sanctions contre la Belgique.

Christine Tshibuyi