Pour Olivier Kamitatu, la décrispation politique nécessite aussi le retour des exilés dont Moïse Katumbi

Membre du G7, une coalition politique qui fait partie du Rassemblement, Olivier Kamitatu exige la remise en liberté des détenus politiques dans le cadre des discussions directes en cours qui ont mis toutes les composantes politiques en divergence autour d’une même table.

<span style="font-weight: 400;">Pour le président de l'Alliance pour le Renouveau du Congo (ARC), la décrispation politique dont il est question dans ce dialogue inclusif modéré par la CENCO, doit aussi impliquer la fin de toute forme de harcèlement et le retour des exilés, en plus de la libération de ceux qui sont déjà emprisonnés pour des raisons politiques.</span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90">«Pour la décrispation, nous avons constaté qu’il y a sept dossiers emblématiques parmi d’autres. Nous avons posé cette question à la partie gouvernementale. Pour ces sept dossiers, nous voulons une réponse. Que ce soit Moïse Katumbi, que ce soit Jean-Claude Muyambo, que ce soit Eugène Diomi Ndongala ou des exilés comme Roger Lumbala, comme Mbusa Nyamwisi, etc. Pour tester la bonne foi de la MP, nous lui avons remis ces dossiers qui peuvent être traités dans quelques heures. Il ne suffit que les magistrats se réunissent, annoncent cela et que les politiques décident. Donc c’est une chose assez simple» a déclaré Olivier Kamitatu.</blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Selon Georges Kapiamba qui fait partie de la commission de décrispation politique à ces discussions directes, il y a des questions qui appellent à l’implication de la CENCO pour trouver un terrain d’attente.</span>

<span style="font-weight: 400;">Will Cleas Nlemvo</span>