Filimbi et Compte à rebours exigent la libération de leurs camarades arrêtés

Les mouvements citoyens Filimbi et compte à rebours dénoncent l’arrestation de leurs militants devant le centre interdiocésain à Kinshasa. Ils l’ont dit dans un communiqué de presse publié ce 14 décembre à Kinshasa.

<span style="font-weight: 400;">Ces militants ont été arrêtés  ce 13 décembre 2016 alors qu’ils avaient prévu un sit-in devant le centre interdiocésain de Kinshasa, lieu où se tiennent les discussions directes entre Rassemblement et Majorité.</span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>« Compte à rebours et Filimbi dénoncent avec constance les arrestations de Chris Shematsi, Carbone Beniwa Beya, Samuel Bosassele, John Ngandu et des autres militants pro-démocratie, tous arrêtés au moment où ils exerçaient de plein droit, leur devoir ultime devant le centre interdiocésain. Et exigent leur libération immédiate et sans condition ».</em></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Ces mouvements citoyens invitent les congolais à la vigilance afin de préserver leur souveraineté.  </span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><i><span style="font-weight: 400;">« Compte à Rebours et Filimbi mettent à témoin la communauté tant nationale qu’internationale face à cette énième barbarie du pouvoir en place et demande au peuple Congolais de rester uni et mobilisé pour faire échec à toute tentative d’appropriation par un groupe d’individus de sa souveraineté », </span></i><span style="font-weight: 400;">conclut le communiqué.</span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Alors que les discussions au centre interdiocésain de Kinshasa se poursuivent pour trouver une solution à la crise actuelle, certains mouvements citoyens comme la Lucha, Filimbi, compte à rebours et le NOGEC, ne jurent que par le départ du Président de la République le 19 décembre 2016.</span>

Franck Ngonga