Cela fait sept jours que Kinshasa est devenue la capitale de la Francophonie. Les robots roulages de Thérèse Kirongozi font partie des éléments du patrimoine congolais qui ont été présentés lors de la cérémonie d'ouverture des jeux.
« Quand nous parlons des jeux et de la culture, il n'est pas seulement question de la musique ou des arts. Même quand nous parlons des arts, il faut savoir que depuis nos ancêtres, l'art démontre la technologie. Nous les contemporains, continuons à travailler avec cette technologie ancestrale », rappelle Mme Kirongozi.
Et d’ajouter « la valorisation permet de démontrer aux pays participants à ces jeux et aux pays du monde, que l'Afrique d'aujourd'hui a sa technologie, que nous n’avons jamais cessé d’innover, d’inventer notre propre modèle. Ces robots roulages ne sont qu'un petit pas. Et je sais que la jeunesse qui vient après nous va en faire d’avantage. Nous avons compris que nous devons travailler pour le développement de notre pays. Et cela repose sur notre propre culture, sur notre propre technologie. Ce sont les modèles que nous pouvons léguer à nos enfants ».
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Par ailleurs, l’entrepreneure et ingénieure de formation, présidente de Women's Technology (laboratoire d'innovations basé à Kinshasa) a félicité les équipes qui ont travaillé durement pour offrir une organisation optimale de ces éditions des jeux de la francophonie à Kinshasa.
« Des professionnels issus de nombreux ont participé à la réussite de ces jeux. Chaque personne ou chaque entreprise a mis son intelligence en exergue pour avoir ce résultat.Quant à nous autres, l’organisation de cet évènement nous donne des leçons. En tant que peuple congolais, nous pouvons associer nos intelligences pour produire ce type d’évènements.»
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Prisca Lokale