Le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU), Steve Mbikayi, demande aux animateurs des institutions de son ministère de bien maîtriser l’outil informatique dans la dynamique de l’octroi des cartes biométriques aux étudiants. Demande formulée le vendredi 12 mai au cours d’un atelier de renforcement des capacités organisé à l’intention des présidents des conférences provinciales, des chefs d’établissements de l’ESU.
Pour Steve Mbikayi, une nouvelle dynamique de gestion est mise en place pour améliorer le système éducatif. Ceci concerne principalement la production des cartes numériques et la sécurisation des documents académiques :
«<i>L’entreprise INOVEXI, avec sa technologie innovatrice, va mettre en place un portail informatique moderne couplé de logiciels et d’applications qui vont servir d’outils de maîtrise des données statistiques fiables pour une gestion transparente des Établissements d’enseignement supérieur et universitaire en RDC. A travers une carte biométrique sécurisée multifonctionnelle, l’administration de l’ESU sera en mesure de remplir plusieurs fonctions susceptibles de résoudre la plupart des problèmes académiques tels que la falsification des documents académiques, l’accès de l’étudiant à la bibliothèque numérique, l’identification sans faille de nos étudiants et le suivi de leur cursus académique», </i>a-t-il indiqué.
Pour le ministre de l’ESU, les responsables des conférences provinciales, des chefs d’établissements de l’ESU sont les premiers maillons de la chaîne qui doit être construite et consolidée pour le plein succès de cette opération.
Cette conférence se tient du 12 au 13 mai 2017. Les responsables des conférences des chefs d’Établissements de l’ESU représentant toutes les provinces du pays vont, entre autres, examiner la problématique de fonctionnement des universités congolaises depuis 1954 avant de suivre l’utilisation de cette nouvelle technologie apportée par l’entreprise INOVEXI.
<strong>Willy Akonda Lomanga</strong>