<span style="font-weight: 400;">Le Groupe d’Associations de Défense des Droits de l’Homme et de la Paix (GADHOP) basé à Butembo (Nord-Kivu) dit avoir répertorié de nombreux types de violations des droits humains en RDC à l’approche de la fin du dernier mandat constitutionnel de Joseph Kabila. L’organisation l’a dit dans un communiqué de presse publié ce samedi 10 décembre 2016 à l’occasion de la 68ème année de la journée internationale des droits de l’homme.</span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90"><i><span style="font-weight: 400;">«Particulièrement ces dernières années, à l‘approche de la fin du deuxième et dernier mandat de Joseph Kabila, des acteurs politiques publics ont été directement ou indirectement auteurs de plusieurs types de violation des droits humains, démontrant ainsi le recule énorme de la situation des droits humains dans notre pays: interdiction des marches pacifiques et manifestations politiques, la fermeture de certains médias promouvant les voix discordantes», </span></i><span style="font-weight: 400;">dit le communiqué.</span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Le GADHOP note qu’à Beni, Butembo,Lubero et Rutshuru, des conflits armés sont à la base de violation des droits de l’homme.</span>
<span style="font-weight: 400;">Patrick Maki </span>