Censé faire profiter davantage le pays de certains « minerais stratégiques », le code minier révisé a été au coeur des échanges entre différents acteurs du secteur extractif mercredi et jeudi au Pullman Grand Hôtel de Kinshasa sous l’égide de la chambre des mines de la Fédération des entreprises du Congo (FEC).
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Le nouveau code promulgué en mars 2018 a également également réduit la « clause de stabilité ». Cette mesure prévoyait le maintien des taxes à leur niveau initial pour une durée de 10 ans.
Quatre ans plus tard, quelle évaluation faire ? Quelles sont les grandes tendances ? Quels sont les principaux défis ? ACTUALITE.CD a interrogé John Kanyoni, vice-président de la Chambre des mines de la Fédération des entreprises du Congo (FEC).
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