Certains quartiers de la ville de Kinshasa connaissent la prolifération des kulunas. Il y a de plus en plus d’actes agression de la part des kulunas. D’autres enregistrent une catégorie des moto-taximen, appelés « wewa », qui se caractérisent par certains types de violence. Ajouter à cela la gâchette facile de certains policiers. Et parfois, policiers, wewa et kulunas se rentrent dedans. Par exemple, un policier avait été tué, dans la nuit du 1er au 2 novembre, dans la commune de Kisenso, par un kuluna. L’infortuné, Ngongo Tshonda, n’a pas survécu à la charge sur sa tête d’un moellon lui jeté intentionnellement par des personnes identifiées comme des kulunas.