A travers Twitter et Facebook, l’homme d’affaires et collectionneur d’art, Sindika Dokolo, dévoile de plus en plus non seulement son aversion envers le pouvoir de Kinshasa, mais sa stratégie. ACTUALITE.CD s’est penché sur son activisme sur Twitter, ces 48 heures. Le résultat :
<strong>Il prône l’affrontement</strong>
<em>Le pouvoir n'est pas dans la rue et il ne faut pas rêver. Tous ceux qui ont sous-estimé M. Kabila l'ont payé cher. Il va falloir l'affronter.</em>
<strong>Il faut se regrouper, un nouveau Rassemblement ?</strong>
<em>Recourir à la violence serait précisément sous-estimer le pouvoir. La seule vraie force est le raz-de-marée populaire. Il faut se regrouper.</em>
<strong>Il n’est pas dans la logique des partis, un peu comme Katumbi</strong>
<em>Il faut partager en masse un discours citoyen plutôt qu'un discours partisan. On se regroupe mieux autour d'un idéal que derrière un individu</em>
<strong>Il se met dans la logique de l’alternance à la fin de l’année 2017</strong>
<em>Il reste donc 6 mois. Le leadership est important mais le principal est de faire un plan de conscientisation citoyenne de l'opinion.</em>
Pour le contexte, Sindika Dokolo, se montre de plus en plus intéressé par la crise politique et humanitaire congolaise. Il s’est notamment illustré en apportant une assistance aux réfugiés congolais du nord d’Angola, fin mai 2017. Le fils d’Augustin Dokolo, millionnaire et propriétaire de banques, avait fait suivre son geste des mots très durs à l’endroit du pouvoir de Kinshasa.
<em>Étant Congolais et ayant grandi au Congo, je ne supporte plus de voir l’avilissement de nos populations et le jeu morbide des politiciens de Kinshasa</em>, avait-il dit.
<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr">
<p dir="ltr" lang="fr">Il reste donc 6 mois. Le leadership est important mais le principal est de faire un plan de conscientisation citoyenne de l'opinion.</p>
— Sindika Dokolo (@sindika_dokolo) <a href="https://twitter.com/sindika_dokolo/status/873836864188424193">11 juin 2017</a></blockquote>
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<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr">
<p dir="ltr" lang="fr">Il faut partager en masse un discours citoyen plutôt qu'un discours partisan. On se regroupe mieux autour d'un idéal que derrière individu</p>
— Sindika Dokolo (@sindika_dokolo) <a href="https://twitter.com/sindika_dokolo/status/873681468953948160">10 juin 2017</a></blockquote>
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<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr">
<p dir="ltr" lang="fr">Recourir à la violence serait précisément sous estimer le pouvoir. La seule vraie force est le ras de marée populaire. Il faut se regrouper.</p>
— Sindika Dokolo (@sindika_dokolo) <a href="https://twitter.com/sindika_dokolo/status/873655115835736066">10 juin 2017</a></blockquote>
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<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr">
<p dir="ltr" lang="fr">Le pouvoir n'est pas dans la rue et il ne faut pas rêver. Tous ceux qui ont sous estimé mr Kabila l'ont payé cher. Il va falloir l'affronter</p>
— Sindika Dokolo (@sindika_dokolo) <a href="https://twitter.com/sindika_dokolo/status/873607866959245313">10 juin 2017</a></blockquote>
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