Il ne reste que quelques jours avant la date du 19 décembre 2016. Et la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) chargée de décrisper les rapports tendus entre la Majorité et le Rassemblement dit être loin d’avoir fini avec sa mission. Les deux protagonistes campent chacun sur sa position. Même si la Majorité présidentielle et certains observateurs évoquent déjà de l’échec des évêques, l’Abbé Donatien Nshole tente de rassurer l’opinion publique qu’il y a encore du temps et de l’espoir.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90"><span style="font-weight: 400;">« </span><i><span style="font-weight: 400;">Je crois que la machine n’est pas encore bloquée. Les évêques appellent à la responsabilité et à la bonne volonté politique des uns et des autres. Cet appel peut être entendu dans l’immédiat. Donc c’est encore très tôt de dire la machine est bloquée. Si la CENCO a pris beaucoup de temps, c’est pour préparer le terrain de sorte que la rencontre autour d’une table devienne facile. Il y a un grand travail qui a déjà été fait par les évêques en amont pour élaguer ce qui pouvait ramener les discussions très loin. Et maintenant les évêques estiment qu’avec les données à leur disposition, si toutes les parties prenantes se mettent autour d’une table sur les questions bien épinglées, il y a possibilité de trouver un accord </span></i><span style="font-weight: 400;">» a déclaré l’Abbé Donatien Nshole lors d’un point de presse tenu ce vendredi 2 décembre 2016.</span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Vous pouvez suivre ces propos en audio ici.</span>
<span style="font-weight: 400;">Rachel Kitsita</span>
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