Dossier SOTRANS : droit de réponse de la BRALIMA

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Les faits Au mois d’août 2018, après la fermeture de notre usine de BOMA, dans la province du Kongo Central, la BRALIMA S.A. a signé avec la société SOTRANS SARL de Monsieur Olivier MALENGO, un Contrat de collaboration Distributeur et Protocole d’accord, pour l’exploitation exclusive de la zone de distribution BOMA, TSHELA et MUANDA. Ainsi, la BRALIMA SA a accordé à SOTRANS un important crédit en matériels roulants, boissons et emballages, évalué à plus de 600.000 dollars américains. En contrepartie de cet important crédit, la société SOTRANS SARL avait des obligations, notamment de rendre disponibles tous les produits de la gamme BRALIMA dans cette zone lui concédée par des achats mensuels. Juste quelques mois après la signature de ce Contrat et Protocole d’accord, SOTRANS n’est jamais arrivée à accomplir les objectifs mensuels convenus. Après plusieurs mises en demeure sans suite, la BRALIMA SA a retiré totalement la zone d’exclusivité concédée à SOTRANS pour violation flagrante du protocole d’accord. Pendant que la BRALIMA recherchait l’adresse physique de la société SOTRANS telle qu’indiquée sur les documents, qui était introuvable, son responsable Monsieur Olivier MALENGO viendra placer une commande de produits d’une valeur de 200.000 dollars américains. La lettre de reprise de la zone lui notifiée, ce dernier reviendra pour réclamer le montant placé pour une commande. Logiquement et légalement, la BRALIMA lui signifiera que ce montant était retenu en compensation de la dette de plus de 600.000 dollars américains qu’il doit à la BRALIMA.     Le procès Malgré ces explications claires, le concerné va intenter une action en justice au Tribunal de Paix/Gombe par citation directe contre la BRALIMA et son directeur général pour un détournement imaginaire, alors que c’est lui et sa société qui doivent une importante somme d’argent à la BRALIMA. Lors du procès qui s’est tenu en date du 12 décembre 2019, SOTRANS et Monsieur Olivier MALENGO étaient incapables de démontrer l’existence du détournement ou abus de confiance qu’ils avaient évoqué dans leur citation directe. Même l’Officier du Ministère Public, sensé appuyer l’accusation, ne les a pas suivis et a recuis l’acquittement pur et simple. Actuellement, étant à court d’arguments pour soutenir son action devant les cours et tribunaux, SOTRANS tente d’utiliser les médias avec des fausses informations afin de chercher à faire pression sur la BRALIMA. Peine perdue.   Fait à Kinshasa, le 21 décembre 2019 La Cellule de Communication