<span style="font-weight: 400;">Lambert Mende, ministre de la Communication et des Médias, a soutenu les paramètres soulignés par Corneille Nangaa pour reporter les élections prévues cette année.</span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100"><i><span style="font-weight: 400;">« Il ne faut pas organiser les élections à n’importe quel prix ou n’importe quelle condition. Les élections doivent permettre une respiration normale de la vie politique et institutionnelle. Nous voulons des élections libres, transparentes et surtout apaisées »,</span></i><span style="font-weight: 400;"> a dit Lambert Mende au cours d'une conférence de presse tenue ce jeudi 13 juillet 2017 à Kinshasa.</span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Le porte-parole du gouvernement a souligné le soutien à la CENI. </span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100"><i><span style="font-weight: 400;">« C’est à la CENI que revient le pouvoir d’organiser les élections. L’Accord du 31 décembre 2016 n’a pas retiré à la CENI cette prérogative. Le Conseil national de suivi de l’Accord (CNSA) est en cours de formation. Mais, même le CNSA ne retire pas à la CENI les prérogatives de la CENI, » </span></i><span style="font-weight: 400;">a -t-il déclaré.</span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Réagissant aux diverses pressions de la communauté internationale, de la société civile et de l’Opposition, Lambert Mende a relativisé illustrant par là le cas du référendum ayant partitionné le Soudan sans apporter la paix dans ce pays. </span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100">« <em>Tout scrutin sous pression n’est pas porteur de démocratie, bien au contraire</em> », a-t-il dit.</blockquote>