L’Union Africaine, les Nations-Unies, l’Union Européenne, et l’Organisation Internationale de la Francophonie se disent préoccupées par l’impasse persistante dans les modalités de mise en œuvre de l’accord du 31 décembre.
Dans un communiqué conjoint fait ce 16 février 2017, ces quatre organisations appellent toutes les parties prenantes aux discussions à une conclusion rapide de pourparlers.
<em>« Les quatre organisations partenaires notent que six semaines après avoir convenu des modalités de gestion de la période de transition devant conduire à la tenue des élections paisibles et crédibles en décembre 2017, les parties n’ont toujours pas conclu les discussions sur la mise en œuvre efficace de l’Accord. Cette situation porte en elle, le risque de saper la volonté politique qui a permis la signature de l’accord du 31 décembre. Les quatre organisations appellent toutes les parties, y compris la Majorité et l’Opposition, à redoubler, de bonne foi, les efforts qui sont les leurs au fin de parachever promptement les pourparlers en cours »,</em> indique leur communiqué.
Ces organisations appellent la Majorité et l’Opposition à faire confiance en la médiation de la Cenco pour une issue heureuse de ces discussions.
C’est depuis le 31 décembre dernier que l’accord politique en vue de la gestion de la transition a été signé par le pouvoir et une frange de l’opposition.Mais depuis, certains points, notamment celui relatif à la désignation du premier ministre, divisent encore les parties prenantes dans le cadre des discussions sur l’arrangement particulier.
Franck Ngonga (<a class="ProfileHeaderCard-screennameLink u-linkComplex js-nav" href="https://twitter.com/franck_ngonga">@<span class="u-linkComplex-target">franck_ngonga</span></a>)