La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) dément les rumeurs selon lesquelles elle aurait passé de noms de certains délégués de la Majorité présidentielle (MP) au conseil de sécurité de l’ONU pour d’éventuelles sanctions pour avoir retardé l’application de l’accord du 31 décembre
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>« C’est un montage. Il n’a jamais été question de citer un seul nom de ceux qui bloqueraient le processus. Le conseil de sécurité n’avait même pas posé une telle question,</em> » a déclaré l’abbé Donatien N’shole contacté ce vendredi 20 janvier 2017 par ACTUALITE.CD</blockquote>
Cependant, certains cadres de la MP, soupçonnent les évêques d’avoir témoigné négativement contre les délégués de la Majorité présidentielle le 11 janvier dernier, lors de la vidéoconférence organisée entre la CENCO et le conseil de sécurité sur l’état d’avancement du processus.
Par ailleurs, ce vendredi 20 janvier 2017 à 16 heures est prévue une plénière qui doit auditionner les sous-commissions sur la répartition de portefeuilles au sein du Conseil national de suivi de l’accord, mais aussi sur la répartition de 46 postes de la prochaine équipe gouvernementale.
Stanys Bujakera Tshiamala