Au cours d'un point de Presse tenu ce jeudi 19 janvier 2017, le porte-parole de la Majorité présidentielle a désapprouvé la répartition des postes au Conseil national de suivi de l'accord.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90"><em>“L’opposition, se présentant en ordre dispersé, exige 24 postes au Conseil national de suivi ne laissant à la MP que 4 postes. Autant dire qu’il s’agit d’un coup d'Etat contre la Majorité minorisée à dessein et par cynique calcul”,</em> a dit Alain Atundu dans une déclaration publiée ce matin.</blockquote>
En ce qui concerne la nomination du Premier ministre, la MP s'en tient à la présentation d'un panel de candidats Premier ministre pour permettre au chef de l'Etat de choisir 1 parmi les 5 qui lui seront proposés.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90"><em>"Il est hors de question qu'un Premier ministre vienne combattre le chef de l'Etat. Il doit être le premier et le principal collaborateur du chef de l'Etat. A la MP, il ne s'agit pas de faire ombrage au chef de l'Etat mais de collaborer pleinement avec lui avec pour objectif l'amélioration des conditions sociales et l'organisation des élections",</em> a dit Alain Atundu.</blockquote>
La MP déclare que sa signature est toujours sous réserve. Pour la plate forme l'accord, n'est toujours pas inclusif même si l’inclusivité n'est pas égale à l'unanimité. Elle en appelle donc à la conscience républicaine de chaque partie prenante et au respect intégral et non discriminatoire de la constitution pour éviter au peuple la désespérance.
Rachel Kitsita.