Alors qu'au sein du Rassemblement toutes les parties ont convenu de céder la primature à l’UDPS, la question de la personne à qui reviendrait cette responsabilité demeure au sein de la formation politique d'Etienne Tshisekedi.
Au micro d’ACTUALITE.CD, Felix Tshisekedi avait déclaré qu’il ferait un bon premier ministre si le choix se porte sur lui. Mais pour Valentin Mubake, tout le monde devrait concentrer les énergies sur la question de l’arrangement particulier.
Au sortir de la première réunion à la CENCO sur l’arrangement particulier, ce membre influent de l’UDPS a déclaré que l’heure n’est pas au choix du premier ministre.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>"Cette question n’est pas à l’ordre du jour aujourd’hui nous voulons démarrer les travaux de l’arrangement particulier. Toutes les questions relatives à la nomination du premier ministre par le Chef de l’Etat, à l’installation du président du comité de suivi, à la taille du gouvernement … feront Objet de discussions dans l’arrangement particulier. Je m’abstiens de parler de quelques choses qui fera objet d’un acte officiel qu’on appelle arrangement particulier. Quand à la question de savoir si je suis candidat, il faut savoir que les candidatures ne sont pas encore demandées. Chaque chose à son temps."</em></blockquote>
Mubake n’est cependant pas étonné d’entendre certaines personnes proposer Felix Tshisekedi à se poste.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>"C’est tout à fait normal qu’en pareil circonstance que les gens aient de préférence pour tel ou tel autre personne. Ça ne devrait pas étonner qui que ce soit".</em></blockquote>
Dans une déclaration hier mardi, le député Jean-pierre Lisanga Bonganga coordonnateur des alliés d'Étienne Tshisekedi (CAT) a proposé Félix Tshilombo Tshisekedi au poste de premier ministre dans le nouveau gouvernement de transition attendu en application à l'accord politique du 31 décembre 2016.
Rachel Kitsita