L’UDPS/Kibassa à la tête d’une délégation des Partis non-signataires de l’accord auprès de la CENCO

<span style="font-weight: 400;">La coordination des plateformes et des partis politiques non-signataires des accords du 18 octobre et du 31 décembre, conduite par l'UDPS/Kibassa, a rencontré ce samedi 7 janvier les évêques de la CENCO pour réclamer leur reconnaissance en tant que force politique et leur accorder le droit d'apposer leur signature sur le compromis politique conclu sous là médiations de cette dernière. </span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">Selon Séraphin Umba, Secrétaire Général de l'UDPS/Kibassa, il est important que l'accord du 31 décembre dernier donne l'ouverture aux partis politiques non-participants aux travaux de marquer leur adhésion comme ce fut le cas de celui du 18 octobre. </span><span style="font-weight: 400;">
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<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100"><span style="font-weight: 400;">
</span><span style="font-weight: 400;"><em>"Nous sommes venus voir avec la CENCO la possibilité d'obtenir des partis politiques qui n'ont pas participé au forum de la cité de l'UA et au dernier forum, parce que ce dernier accord du 31 décembre, lorsque vous le lisez bien, ne laisse pas l'ouverture aux parties qui n'ont pas participé. C'est ça la différence avec le premier accord du 18 octobre qui dans son article 24 donnait la possibilité à ceux qui n'ont pas participé de venir signer. Donc, donner leur adhésion par la signature. Mais ce deuxième accord ne donne pas cette ouverture là. Ça nous inquiète! Or il y a plusieurs partis politiques et tous ne pouvaient pas entrer dans la salle pour discuter. Là, l'UDPS/Kibassa donne le ton, mais nous sommes plusieurs partis politiques ... Ainsi, ceux qui sont hésitant peuvent nous rejoindre pour faire ce Front et obtenir qu'il y ait cette indice d'ouverture pour les partis qui n'ont pas participé à cet accord",</em> a-t-il expliqué </span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">La délégation a remis à la CENCO un mémorandum dans lequel elle réclame d'être reconnue comme une composante à part entière et de ce fait, de participer à la gestion de la transition dans le gouvernement, aussi bien que dans le comité national de suivi. </span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">Jacques Kini</span>