<b>La Commission électorale nationale indépendante (CENI) appelle tous les partis et regroupements politiques, victimes des erreurs après la publication de la liste des formations politiques autorisées à concourir aux élections, à s’adresser directement au ministère de l’Intérieur.</b>
Saisie par plusieurs partis politiques qui revendiquent des modifications de cette liste, la CENI renvoie la balle au ministère de l’Intérieur qui a publié ladite liste, en avril dernier.
«<i>Les partis et regroupements politiques qui estiment que des corrections ou modifications sont à apporter à cette liste puissent s’adresser au seul ministère ayant en charge la gestion des partis et regroupements politiques</i>», dit la CENI dans un communiqué publié le 19 juin 2018.
Depuis sa publication dans le Journal officiel, la liste des partis et regroupements politiques autorisés à fonctionner est contestée en grande partie par l’opposition. Celle-ci dénonce généralement le fait, pour le ministère de l’Intérieur, d’avoir reconnu en même temps certains partis ou regroupements politiques dédoublés.
<b>Will Cleas Nlemvo</b>