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<span style="font-weight: 400;">La salle de conférences de l'église Notre Dame de Fatima a servi de cadre ce samedi 28 juillet à une conférence-débat autour du thème "<em>Fille d'aujourd'hui, femme de demain</em>".</span>
<span style="font-weight: 400;">C'était l'occasion pour le coordonnateur national de la structure organisatrice de cette conférence-débat " <em>Jeune ze vieux</em> ", Serge Onyumbe, de rappeler que le but de leur action est l'établissement d'une société de liberté, de responsabilité et de justice orientée vers l'épanouissement intellectuel et moral de la personne humaine et des communautés dans lesquelles celles-ci s'enracinent. </span><i><span style="font-weight: 400;">"Jeune ze vieux lutte pour que les jeunes congolais soient regardés comme une ressource active dans le pays"</span></i><span style="font-weight: 400;">, a-t- il dit.</span>
<span style="font-weight: 400;">L'un des exposants, le professeur Aimé Kayembe, expert en communication et question de genre, s'est appesanti sur l'autonomisation de la jeune fille. Il a rappelé les trois instances qui la développent, à savoir l'école, l'église et l'État qui, à son avis, s'inscrivent dans le cadre du développement même de la jeune fille.</span><span style="font-weight: 400;">
</span><span style="font-weight: 400;">Pour le professeur, il est indispensable d'encourager la jeune fille de s'affirmer dans la vie.</span>
<span style="font-weight: 400;">Béatrice Nday wa Mbayo, responsable des projets dans le domaine genre chez pathfinder, une ONG américaine, a exposé sur le profil de la jeune fille kinoise, la question du genre ainsi que les devoirs et droits de la jeune kinoise.</span>
<span style="font-weight: 400;">Dans le volet partage d'expériences, le témoignage vibrant d'une fille mère a captivé l'attention de l'assistance sur ce que devrait être réellement une fille congolaise.</span>
<b>Pepeco Kinzala</b>