Dans la douleur, Lucha et Filimbi lancent la campagne "bye bye Kabila"

<span style="font-weight: 400;">Les initiateurs de la campagne "Bye  bye Kabila" ont lancé ce samedi 26 novembre leur campagne de sensibilisation sur le respect de la constitution en dépit d'un dispositif important des forces de police. </span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">Ils ont reconnu avoir rencontré des difficultés liées justement à cette présence policière déployée pour empêcher la manifestation et déplorent la restriction des libertés garanties par la constitution.</span><span style="font-weight: 400;">
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<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>"Nous nous sommes retrouvés dans les différents coins de la capitale pour lancer la campagne "Bye bye Kabila". Cette activité a été entravée par un dispositif sécuritaire de grande envergure  pour pouvoir empêcher aux citoyens de pouvoir, de manière libre et conforme à la constitution, exprimer  leur opinion par rapport à la situation de violation de la constitution telle que nous la vivions aujourd’hui, déclare Amani Muzuri, un des membres de la Lucha. "</em></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">La coalition Filimbi-Lucha à tenu à affirmer que la campagne va se poursuivre jusqu'à la fin de l'année pour appeler à la vigilance du peuple congolais. Ils annoncent que la prochaine étape consistera à des actions concrètes et non violentes sur toute l'étendue du pays pour exiger le respect de la constitution. </span><span style="font-weight: 400;">
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<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>C’est le début d’une série de manifestation qui ira jusqu’à la fin de l’année  pour demander au peuple congolais d’être vigilant. La campagne comporte plusieurs étapes. La première étape c’est le contact avec la population pour l'informer. Ensuite viendra l’étape des actions concrètes et non violentes que nous allons déclencher sur toute l’étendue de la république pour exiger le respect de la constitution.  Aujourd’hui nous avons remis des messages signés qui font campagne pour le respect de la constitution. Il faut que les politiques qui prennent la mesure de la chose pour que la  population puisse jouir de son droit légitime de voir cette constitution respectée."</em></blockquote>
Stanys Bujakera Tshiamala