Adolphe Muzito n'est pas allé de main morte au sujet de l’arrêt de la Cour constitutionnelle. Ancien Premier ministre d’octobre 2008 à mars 2012, député national élu de Kikwit, Adolphe Muzito a choisi ACTUALITE.CD pour publier sa 13e tribune.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>"Cet arrêt de la Cour constitutionnelle est illégal quant à la forme (quorum non atteint) et anticonstitutionnel quant au fond,"</em> a t-il dit. D'après l'ancien Premier ministre, le glissement a été programmé et il serait impardonnable par le peuple.En réduisant le délai de 504 jours fixé par la CENI pour l’organisation concomitante de 5 scrutins (présidentiel, législatif, provincial, local,…) sans réduire à deux voire à un le nombre de ceux-ci, le « Comité restreint » savait que ce délai de la part de la CENI voire du Gouvernement n’est pas réaliste, dit Muzito.</blockquote>
Pour lui, l’objectif du « Comité restreint » en réduisant le délai était de faire bonne figure vis-à-vis de la population en suscitant chez elle une perception positive de l’Accord, quitte à rallonger le délai le moment venu.
Vous pouvez relire la tribune d'Adolphe Muzito <a href="https://actualite.cd/2016/10/21/adolphe-muzito-nai-signe-laccord-13e-tr…;