La signature de l'accord suspendue à la décision de la Cour constitutionnelle qui doit, en principe, se prononcer aujourd'hui sur sa saisine par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) qui l'avait sollicite pour le report de la convocation du corps électoral.
Selon nos dernières informations, l'opposition prenant part au dialogue et la Majorité restent divisées sur la date précise de la tenue des élections. Pendant que la partie du pouvoir opte pour les indications de la CENI qui projettent les élections pour le mois de novembre 2018, l'opposition au dialogue propose à ce que les élections soient tenues au mois de mai 2018. Cette divergence d'opinion a poussé la Majorité à demander aux parties prenantes d'attendre cet arrêt que doit rendre la Cour constitutionnelle pour besoin de cohérence.
Pour rappel, la commission "élection" au dialogue en cours avait déjà terminé ses travaux depuis le 17 septembre 2016 sans avoir tranché sur la question de la date prévue pour les élections. Cela avait donc incité la CENI à déposé un recours devant la Cour constitutionnelle pour demander le report de la présidentielle afin de débloquer ce qui semble être une impasse dans le déroulement de ce dialogue.