La Commission Électorale Nationale Indépendante a clôturé la réception des candidatures pour les élections législatives nationales ce dimanche 23 juillet. Malgré un engouement peu comparable à 2018, certaines habitudes sont restées les mêmes, d’abord l’arrivée en dernière minute de beaucoup de dossiers mais aussi et surtout, le choix des suppléants.
Plusieurs candidats dont des présidents des partis politiques ont fait le choix comme par le passé de se faire suppléer par des membres de leurs familles et pas ceux de leurs familles politiques. Même si la loi ne l’interdit pas, ceci passe mal chez plusieurs militants et plusieurs personnes dans l'opinion.