Caricature : au secours Monusco pour la sécurisation des activités politiques

Caricature ACTUALITE.CD
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La RDC vit des moments particulièrement mouvementés. En politique ou dans le contexte sécuritaire de l’Est du pays, un besoin de sécurité s’impose énormément. Ce que l’Etat devait assurer dans ses prérogatives. A défaut, une aide extérieure s’impose également, comme pour la question sécuritaire avec la Monusco, la mission des Nations unies pour le Congo.

En politique, actuellement, et surtout pour les acteurs de l’opposition, la crainte réside au niveau du traitement leur réservé ces derniers mois. Il y a l’enlèvement du député provincial Mike Mukebayi, l’interpellation du cadre d’Ensemble, Salomon Kalonda sur le tarmac de l’aéroport de N’djili ; la perquisition des résidences de Moïse Katumbi à Kinshasa, de Salomon Kalonda et de sa mère à Lubumbashi, l’arrestation de Franck Diongo. Et plus grave, l’assassinat de Chérubin Okende.

Dans ce contexte, Matata Ponyo, Delly Sesanga et Moïse Katumbi considèrent que les arrestations “arbitraires” et les assassinats dans l'opposition ne permettent plus d'exercer les activités électorales en toute sécurité. Ils ont exigé, dans un communiqué de presse conjoint du 14 juillet, une réunion d’urgence entre parties prenantes.