L'ONU avait affirmé, le 12 mars, que les tueries de décembre 2018 dans le territoire de Yumbi [ province de Maï-Ndombe] avaient été planifiées et exécutées avec l'appui des chefs de certains villages à majorité Tende. Dans le même sens, certaines sources citaient le nom de Gentiny Ngobila comme un des instigateurs de la crise.
Si les enquêteurs du Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l'Homme (BCNUDH) n'avaient pas vérifié la salve d'allégations contre l’homme d’affaires, la ministre des Droits humains, Marie-Ange Mushobekwa, estime que l’ancien gouverneur de la province du Maï-Ndombe sera un témoin-clé. Lire la suite ici.