L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) accuse les forces de l’ordre congolaises des violations des droits de l’homme après les violences du 19 et 20 décembre 2016 qui ont endeuillé Kinshasa et d’autres villes congolaises.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90"><span style="font-weight: 400;">« Il y a eu 11 morts à Kinshasa, 19 à Lubumbashi et 6 à Boma</span><b>,</b><span style="font-weight: 400;"> plusieurs blessés graves, et de milliers de personne arrêtées et détenues sans droit de visite, ni d’assistance d’avocats, dans des cachots de la police, de camps militaires, de l’ANR et de la DEMIAP », souligne l’ONG de droit de l’homme dans son communiqué.</span></blockquote>
L’ACAJ se dit également affligée par les actes de torture et des mauvais traitements qu’aurait subi Franck Diongo pendant son arrestation lundi 19 décembre 2016 dans sa résidence.
<span style="font-weight: 400;">L’ONG de droit de l’homme appelle par conséquent à la fin des restrictions abusives imposées aux manifestations et réunions pacifiques. Elle ordonne, à travers son président Georges Kapiamba, la libération sans condition de toutes les personnes détenues.</span>