Les cas de violences sexuelles liées au conflit, documentés en juillet 2021 sur des victimes adultes, ont été en baisse de 25% par rapport au mois précédent, selon le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH) en République démocratique du Congo (RDC).
L’ONU a documenté au moins 44 victimes au cours du mois en revue. Les membres des groupes armés continuent de commettre le plus de violences sexuelles sur les civils avec 33 femmes victimes en juillet 2021, ajoute le rapport.
Parmi les agents de l’Etat, les militaires des FARDC ont fait le plus grand nombre de victimes (avec neuf femmes), suivis des agents de la PNC (deux femmes), pour un total de 11 victimes pour le mois.
Trois provinces continuent à enregistrer le plus grand nombre de victimes de violences sexuelles. Il s’agit des provinces du Nord-Kivu (18), du Maniema et du Sud-Kivu (10 chacune).