Le représentant spécial adjoint du secrétaire général des Nations unies en RDC Mamadou Diallo s'est dit inquiet de la détérioration de la situation sécuritaire et humanitaire dans l'est du pays après le massacre d'au moins 30 personnes par des miliciens à Luhanga (Nord-Kivu).
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100"> <em>« Conformément au droit international humanitaire et des droits de l'homme, les personnes déplacées internes doivent être protégées contre toute attaque directe et indiscriminée ou tout acte de violence à leur égard ou dans leur camps ou lieu d'hébergement. En tant que Coordonnateur humanitaire, et au nom de l'ensemble de la communauté humanitaire en RDC, je condamne dans les termes les plus forts la violence perpétrée lors de l'attaque contre le site de déplacés survenu le 27 novembre »,</em> a déclaré Mamadou Diallo, dans un communiqué de presse.</blockquote>
Pour rappel, la MONUSCO a déclaré le 27 novembre 2016 avoir renforcé sa présence dans la localité de Luhanga.