Pas question de troisième mandat, dit le délégué angolais de la mission du Conseil de sécurité

<span style="font-weight: 400;">Les membres de la délégation du Conseil de Sécurité ont fait le bilan de la journée marathon qu'ils ont eu ce samedi 12 novembre 2016 avec les différentes forces politiques et sociales congolaises. </span><span style="font-weight: 400;">
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<span style="font-weight: 400;">Après la rencontre avec le Premier Ministre Matata Ponyo, puis celle avec le président Kabila et les membres du gouvernement, ils ont tour à tour rencontré au Fleuve Congo Hôtel la CENCO, les membres du Rassemblement et du MLC, les membres de l'opposition ayant pris part au dialogue, ainsi que la société civile.</span><span style="font-weight: 400;">
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</span><i><span style="font-weight: 400;">"Nous sommes une mission de diplomatie préventive et nous sommes venus voir de nos yeux. Je sors de la RDC plus que rassuré car il y a de la volonté de la part de tout le monde d'éviter le pire.  C'est un processus qui est bien engagé avec l'accord politique mais ce n'est pas la fin, il faut qu'il soit plus inclusif", </span></i><span style="font-weight: 400;">a déclaré l'ambassadeur angolais </span><span style="font-weight: 400;">Ismaël Abraao Gaspar</span><span style="font-weight: 400;">.</span><span style="font-weight: 400;">
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</span></i><i><span style="font-weight: 400;">"Pas de 3ème mandat! Il n'en est pas question pour ce pays. Le 3ème mandat n'est pas une question qui ait été envisagée comme solution à la crise mais la solution réside dans un dialogue permanent et donner des assurances à la jeunesse pour lui donner la sérénité d'aborder l'avenir",</span></i><span style="font-weight: 400;"> a-t-il asséné.</span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">Pour l'ambassadeur de la France, la mission est venue apporter le soutien du Conseil de Sécurité des Nations Unis au peuple congolais. </span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">"</span><i><span style="font-weight: 400;">La RDC se trouve à un moment charnière de son histoire et il y a une possibilité d'une transition pacifique à la fin du mandat du président Kabila. J'ai senti une forte convergence sur les grandes lignes suivantes: le refus des violences et la recherche d'une solution politique fondée sur le respect de la constitution", a-t-il déclaré disant en plus avoir parlé toute la journée de la nécessité du rétablissement du signal de RFI devant s'inscrire dans les mesures de confiance. </span></i><i><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">Après Kinshasa, la délégation se rend ce dimanche 13 novembre au Nord-Kivu pour visiter la population meurtrie de Béni. De possibles entretiens sont peut-être en vue avec les forces-vives locales. </span>

<span style="font-weight: 400;">Jacques Kini</span>