Des organisations de la société civile congolaise constatent que les chiens d’attaque et de défense entraînent des risques sérieux pour les droits humains dans les zones minières dans un silence total. Dans une lettre ouverte, elles demandent au président Tshisekedi d'étendre l’initiative d'amélioration de la réglementation dans ce secteur aux sociétés de gardiennage.
Ci-dessous, l'intégralité de cette lettre