Fort de sa base de Kibali, Barrick à la poursuite de nouvelles opportunités dans l’or et le cuivre en RDC

En partenariat avec le Gouvernement de la RDC, Barrick est prête à investir dans de nouvelles opportunités dans l’or et le cuivre, après avoir établi Kibali comme la plus grande mine d’or d’Afrique.

Lors d’une conférence de presse tenue, le 20 mars 2024, en marge de sa visite à la mine, M. Bristow a affirmé que Kibali était sur la bonne voie pour une nouvelle année créatrice de valeur, grâce à une production soutenue. En outre, la mine est idéalement positionnée pour remplacer les onces épuisées par l’exploitation minière par d’autres réserves de même qualité.

« Kibali a transformé ce qui était auparavant la région défavorisée du Nord-Est du pays en un nouveau pôle économique et une zone commerciale prospère. Sur les 5 milliards de dollars que nous avons investis en RDC, plus de la moitié a servi à payer les entrepreneurs et fournisseurs locaux, dont nous avons favorisé la croissance, pour en faire des entreprises importantes, en améliorant leurs compétences commerciales et techniques et en leur donnant la possibilité de les mettre en pratique. La troisième centrale hydroélectrique de Kibali, par exemple, a été construite par une équipe entièrement congolaise », a-t-il déclaré.

La collaboration annoncée récemment par Kibali avec l’ARSP, l’organisme public de régulation qui supervise le secteur de la sous-traitance dans le pays, a déjà débouché sur une série d’initiatives qui s’appuient sur la stratégie du « local content » de Kibali, laquelle est à la pointe de l’industrie.

Pendant ce temps, Kibali poursuit sa conversion vers les énergies renouvelables avec la mise en service prévue en 2025 d’une centrale solaire de 16 MW et des batteries associées. Pendant les six mois de la saison des pluies, l’usine augmentera de 81 à 85% son utilisation de l’énergie renouvelable.

Conformément à son engagement en faveur de la préservation de la biodiversité, Kibali a entrepris une étude de faisabilité en collaboration avec l’ICCN, en vue de l’introduction des rhinocéros blancs supplémentaires dans le Parc national de la Garamba.