Enfin Emmanuel Macron a compris l’enjeu du conflit meurtrier de l’est de la République démocratique du Congo qui, à ce jour, a dépassé les millions de morts, des déplacés et est responsable d’une grande misère dans notre pays.
Ce conflit, financé et soutenu par le Rwanda, est enfin mis à nu par le président de la République Française.
Et notre président, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, que d’aucun n'a traité de laxiste, est enfin lavé de ce soupçon irrespectueux de son rôle et de son engagement en faveur de notre pays depuis son accession au pouvoir.
C’est notamment grâce à son franc-parler que la chape de plomb sur ce dossier et son cortège de langues de bois sont entrain de tomber.
La vérité qui a été longue à éclore est enfin visible pour tous.
Avec le temps et patiemment les congolais sont entrain de comprendre qui est qui dans ce conflit où les masques tombent et vont certainement continuer de tomber.
Ce qui est certain aujourd’hui est que pour la première fois depuis quasi 20 ans, les choses sont claires et d’ailleurs les zélateurs de Kagame d’hier sont aux abonnés absents depuis que les masques ont commencé de tomber.
Ceux qui voulaient accabler le Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi, cherchant absolument à le noyer dans les flots de compromissions sordides en ont eu pour leur grade.
En guise de rappel, Macron a asséné après le Pape François, le Congo n’est pas une terre à butin et sa balkanisation n’est pas non plus à l’ordre du jour au grand dam des concepteurs d’agendas cachés et autre stratégie de pillage contre notre nation.
Il est donc temps d’arrêter de perpétuer ces crimes ignobles à l’est de notre pays.
Les souffrances de notre population ne doivent plus laisser personne indifférent et notre justice doit s’occuper sérieusement de ceux qui prennent ou ont pris le risque de diviser notre nation, le bien le plus précieux que nos aïeux nous ont légué en héritage.
Le pacifisme de notre Chef d’Etat n’est pas une faiblesse mais la contrepartie de sa responsabilité de leader d’une nation qui aspire au respect de ses pairs et du monde.
Là où certains avaient cru voir une faiblesse, il éclôt aujourd’hui une grande sagesse et une gestion humaniste digne des très grands.