Barbara Nzimbi, chargée de communication de Joseph Kabila, a signé un communiqué répondant à l’enquête Congo hold-up. Elle dénonce le fait que « l'image et le nom du Président de la République Honoraire sont utilisés abusivement comme produit d'appel pour tenter de crédibiliser cette démarche médiatique dont l'opportunité est questionnable ».
Selon elle, aucune ligne de ce rapport ne démontre « l'implication factuelle ou même implicite de l'institution Président de la République qu'il a eu l'honneur de diriger pendant 18 ans. Sont cités une banque commerciale, des institutions nationales et des sociétés privées dont les responsables au moment des faits supposés sont identifiés et n'ont rien à avoir avec la Présidence de la République d'époque ».
« Ces puissances occultes n'ont jamais digéré les choix courageux de souveraineté opérés sous la Présidence de Joseph Kabila notamment en matière électorale et minière », dit-elle.
Elle dénonce aussi ce qu’elle appelle « fixation haineuse de certains médias et associations sur la personne du Président honoraire que certains ont conceptualisé en Kabilabashing ».
Pour Barbara Nzimbi, ces accusations sont non fondées. Elle brandit ce qu’elle qualifie de « bilan de la gestion salvatrice de ce digne fils d'Afrique qui a rendu ses lettres de noblesse à la République Démocratique du Congo à savoir: pacification-réunification-Constitution de 2006-démocratisation avec trois cycles électoraux-relance économique et alternance pacifique historique ».
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