<span style="font-weight: 400;">La République du Congo abritera du 21 au 23 mars 2018 la troisième réunion de l'initiative mondiale sur les tourbières. </span>
<span style="font-weight: 400;">L'annonce a été faite le samedi 10 février 2018 au cours d’un point de presse par les ministres chargés d'Environnement des deux Congo.</span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">"Nous réitérons notre engagement à renforcer la collaboration entre nos deux états dans la protection de l'environnement et la valorisation des tourbières récemment découvertes dans la cuvette centrale du bassin du Congo pour assurer l'équilibre climatique", a dit Arlette Soudan-Nonault, ministre de l'Environnement du Congo Brazzaville.</span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">Au cours de la prochaine rencontre qui aura lieu à Brazzaville, il sera question de poursuivre le dialogue avec les parties prenantes et les partenaires de l'initiative mondiale afin de coordonner les actions pour la gestion des tourbières.</span><span style="font-weight: 400;">
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<span style="font-weight: 400;">Cette rencontre sera organisée en partenariat avec la Commission Climat du Bassin du Congo avec l'appui financier de la FAO et du PNUD.</span><span style="font-weight: 400;">
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<span style="font-weight: 400;">Les tourbières sont un gisement de tourbe en quantité exploitable. Elles servent de combustible. Découvertes en octobre dernier à Lokolama, dans la province de l’Équateur après une expédition des scientifiques, ces tourbières dans le bassin du Congo s’étendent sur 145.500 km2. Une quantité capable de stocker au moins 30 milliards de tonnes de carbone, soit l’équivalent de 3 ans d'émissions de combustibles fossiles dans le monde.</span><span style="font-weight: 400;">
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</span><strong>Rachel Kitsita</strong>