<span style="font-weight: 400;">La directrice de Human Right Watch (HRW) en Afrique Centrale, Ida Sawyer, invite le Conseil de sécurité de l’ONU à imposer de nouvelles sanctions ciblées contre certains officiels congolais indiqués comme responsables de répressions violentes à l’endroit des journalistes et des opposants par l’Union Européenne (UE) et les Etats-Unis d'Amérique. </span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100"><i><span style="font-weight: 400;">« Les nouvelles sanctions ciblées de l’UE et des États-Unis à l’encontre de hauts responsables congolais et d’intérêts commerciaux envoient un message puissant : la répression violente menée par le gouvernement à l’encontre d’activistes, de journalistes et de l’opposition politique a un coût élevé. Le Conseil de sécurité de l’ONU devrait aussi imposer de nouvelles sanctions ciblées »</span></i><span style="font-weight: 400;">, a dit Ida Sawyer ce jeudi 1er juin 2017 dans un </span><span style="font-weight: 400;">message à ACTUALITE.CD</span></blockquote>
La chercheuse de HRW insiste pour que les dirigeants africains fassent pression sur le président Kabila quant à l’organisation urgente des élections.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100">«<em>Les dirigeants régionaux devraient exercer des pressions sur le gouvernement de Kabila pour qu’il mette fin aux abus et organise d’urgence des élections crédibles</em>»</blockquote>
L’Union Européenne et les Etats-Unis ont procédé très récemment à des sanctions contre les autorités congolaises dont des ministres, ex-ministres et un responsable de <span style="font-size: 1.125rem;">l’armée.</span>
<strong>Will Claes N'lemvo</strong>