Les femmes de l’AR accusent le pouvoir de retarder la tenue des élections

Les femmes de l'alternance pour la république accusent le pouvoir en place d’être responsable de foyers d’insécurité à travers le pays et de la dégradation du tissu économique pour retarder les élections.

Regroupées au sein de leur structure FAR (Femme de l'Alternance pour la République) à l’occasion d’une journée d’échange ce vendredi 14 avril, ces femmes ont renouvelé leur engagement de lutter pour l’organisation des élections libres et transparentes d’ici la fin de l’année 2017 conformément à l’Accord du 31 décembre.

<em>"Nous  voulons dire au peuple congolais, à toutes les femmes congolaise et au monde entier que nous voulons les élection démocratique transparente. Contrairement aux élections de 2006 et celles controversés de 2011, les élections que nous exigeons à la fin de l'année 2017 seront une affaire des femmes. Nous allons par notre engagement et notre lutte influencer à tout les niveaux des scrutins, à commencer par l'élection présidentielle pour laquelle notre confiance est acquise en faveur de Moise katumbi qui incarne l'espoir de l'alternance et l'amélioration du social des congolais."</em>, a déclaré Honorine Bakashanga, présidente de FAR.

L’Alternance pour la république est une plateforme du Rassemblement qui soutient la candidature de Moise Katumbi à la prochaine présidentielle.

Julie Mokwa (Stagiaire UPN)

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