Neuf bus de la société des Transports au Congo (TRANSCO) ont été vandalisés lundi 27 et mardi 28 mars derniers lors des manifestations au lendemain de l’échec des négociations sur l'Arrangement particulier devant définir les modalités de mise en œuvre de l’Accord du 31 décembre.
Cette information a été relayée ce vendredi 31 mars 2017 à ACTUALITE.CD par le Directeur Général Adjoint de cette société commerciale.
Andrew-Blackson Bongi a fait savoir que cet acte porte à 154 le nombre de bus saccagés depuis le lancement officiel de cette entreprise en juin 2013, soit un tiers du charroi automobile de TRANSCO.
Le DGA Bongi a appelé la population à protéger ce qu’il considère comme un "patrimoine national".
Lancée depuis le 30 juin 2013, cette entreprise publique tient depuis près de 4 ans afin de remplir la mission lui assignée par le Gouvernement congolais.
Cet effort semble s’amenuiser au regard des multiples chocs que subissent ses unités de production.
Les raisons de ces actes commis par des personnes non autrement identifiées sont diverses : mécontentement des supporteurs après la défaite de leur équipe de football, manifestations politiques, revendications sociales, accident de circulation, etc.
Tous ces actes ne sont pas sans conséquence économique pour la société publique des transports au Congo (TRANSCO).
Willy Akonda Lomanga, desk Eco