Pour Jean Marc Kabund, la convocation d’une deuxième session extraordinaire en vue de l’investiture du gouvernement attendu conformément à l’accord du 31 décembre et qui doit succéder à celui issu du compromis du 18 octobre 2016, est obligatoire.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90">« Dans ce pays on a déjà vu la session extraordinaire être convoquée deux fois, et c’est ce qui doit en principe et obligatoirement se faire cette fois-ci. On doit investire notre gouvernement pour permettre à celui-ci d’exécuter fidèlement les obligations lui assignées dans l’accord », affirme le secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès social (UDPS).</blockquote>
Le numéro deux de l’UDPS a également fustigé l’insistance du front pour le respect de la constitution qui veut présider le comité national de suivi de l’accord, poste pourtant confié à Etienne Tshisekedi président du conseil de sage du Rassemblement.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-90" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="90">« Nous connaissons toutes les manœuvres du MLC et alliés, ils disent aux gens qu’ils ne veulent pas entrer au gouvernement alors qu’ils y cherchent d’importants fauteuilles. Il n’est donc pas question de laisser au Front les commandes du Comité de suivi. Est-ce que ce regroupement a le poids ou la popularité d’Etienne Tshisekedi ? C’est un faux débat et on fait monter les enchères pour autre chose », martèle Jean-Marc Kabund qui a en outre affirmé que le Rassemblement est déjà prêt avec ses propositions sur les arrangements particuliers.</blockquote>
Stanys Bujakera T