JIF 2021 : « il n'y a d'informations crédibles que les informations vérifiées », message de l’Acofepe aux femmes de la presse écrite

L’Association Congolaise des Femmes journalistes de la Presse Écrite (ACOFEPE) a adressé un message à ses membres et à toutes les professionnelles des médias en ligne et en papier, à l’occasion de la célébration de la journée des droits des femmes, le 08 mars. 

Chères femmes, Chères consœurs,

Avec courage et dignité, nous avons su faire face à l'imprévisible, à l'inédit, à l'adversité. L'apparition du Coronavirus dans le monde ne nous a pas empêchées de travailler comme des véritables héroïnes dans un milieu professionnel caractérisé par un machisme inconscient. Nous avons prouvé à la face du monde que la peur du Covid-19 n'avait pas droit d’être citée, une fois les mesures d'hygiène officielles strictement respectées ! Même pendant le confinement, nous avons su donner le meilleur de nous-même, en prenant le risque de collecter, traiter et publier les informations. C'est ici l'occasion d'exhorter toutes les femmes de la presse imprimée et électronique, à ne pas perdre espoir, mais plutôt à continuer à croire que les plumes peuvent toujours inlassablement informer, former et divertir ! Chères femmes, chevalières de la plume congolaise, continuons donc à produire des informations vraies et objectives. Car il n'y a d'informations crédibles que les informations vérifiées... Même en cette période de l'une des plus grandes pandémies de l’Histoire ! Vive la Femme Congolaise, Vive la Chevalière de plume !

En outre, ce 09 mars, L'ACOFEPE a lancé la phase préliminaire du concours d’orthographe « Une écriture sans faute », à l'École Primaire 5 dans la commune de Ngiri-Ngiri. Sur les10 candidates de cette école prenant part à cette 3ème édition, seules les cinq premières vont rencontrer en finale les cinq meilleures de trois autres écoles retenues du district de la FUNA.

Ce concours est organisé avec l'appui de la Wallonie Bruxelles (RDC), la Monusco, de l’Ambassade de Suisse et CANADA, en marge de la célébration de la Journée internationale de la Francophonie.

Prisca Lokale