<b>L’Assemblée nationale examine ce lundi 16 juillet 2018, la loi portant statut des anciens chefs d’Etat élus. La chambre basse se penche sur cette proposition de loi près de deux semaines après son adoption par le Sénat.</b>
D’après Modeste Mutinga, initiateur de ladite proposition, une fois adoptée, la loi va garantir la légitimité et le travail accompli par le Chef de l’Etat élu au suffrage universel.
Avant de l’adopter, le Sénat avait rejeté la proposition d’étendre la loi sur le statut des anciens chefs d’Etat élus aux autres responsables d’institutions de la République, et autres chefs de corps, tels que les services des renseignements et d’autres officiels.
Claudel Lubaya, membre d’Ensemble, plateforme électorale de Moïse Katumbi, avait redouté que cette la loi «consacre l’impunité » pour des crimes commis durant les mandats des anciens chefs d’État élus.
<strong>Will Cleas Nlemvo</strong>