Nangaa: « La machine à voter n’est pas une option, mais une décision relevant des attributions de la CENI »

<b><i>Malgré une levée de bouclier de l’opposition et les doutes émis par certaines organisations dont le Groupe d’étude sur le Congo (GEC),  projet de recherche basé au Centre de coopération internationale de l’Université de New York, sur la fiabilité de la machine à voter qui, la CENI (Commission Électorale Nationale Indépendante) continue la sensibilisation.</i></b>

<span style="font-weight: 400;">Corneille Nangaa, président de la CENI, insiste sur le choix de ce système de vote à écran tactile pour les élections de décembre 2018.</span>

<i><span style="font-weight: 400;">« Le processus est irréversible vers les élections du 23 décembre 2018. Nous irons à ces scrutins avec la machine à voter. Ceci n’est pas une option mais une décision qui relève des attributions constitutionnelles de la CENI »,</span></i><span style="font-weight: 400;"> a-t-il dit samedi dernier devant les jeunes réunis à la maison des élections à Kinshasa.</span>

<span style="font-weight: 400;">Pour lui, la machine à voter a été introduite pour répondre à la problématique électorale purement congolaise.</span>

<span style="font-weight: 400;">A Bukavu le 19 avril, Norbert Basengezi, vice-président de la CENI, avait à son tour également sensibilisé, cette fois-ci, les journalistes du Sud-Kivu à l’usage de cette technologie. Une séance d’expérimentation de la machine à voter a également était organisée.</span>

<span style="font-weight: 400;">A Mbandaka du 18 au 19 avril, 100 délégués de la commission Diocésaine Justice et paix ainsi que 150 jeunes ont été également sensibilisés à l’utilisation de la machine à voter.</span>

<span style="font-weight: 400;">La même opération a été menée à Bunia (Ituri), à Kalemie (Tanganyika).</span>